Vaste sujet effleuré hier soir avec Eric autour d'un bon repas.
Même s'il est impossible de rentrer dans les détails de l'histoire officielle (et surtout non officielle...) de la radio, nous avons évoqué la naissance de la FM en France jusqu'à la façon dont les FM programment leurs antennes de nos jours, ainsi que les perspectives d'avenir de ce type de média.
Après un bref rappel historique, de la première radio FM à Lille en 1969 jusqu'à l'ultra formatage actuel des réseaux, on a regardé quelques documents montrant le trajet et l'objectif d'un titre, du test de ce dernier avant sa mise à l'antenne jusqu'aux résultats d'audience de la radio (les fameux sondages dont se servent les radios pour vendre la pub), en passant par le positionnement dudit titre à des heures déterminées sur le conducteur de l'animateur.
Nous avons abordé les différentes évolutions des radios depuis 1981 en terme d'expansion, en évoquant aussi la tendance actuelle sur l'importance des contenus et du programme local, pour se différencier des flux musicaux sans âme qui ressemblent plus à un iPod qu'à une radio. Les radios se penchent également (tardivement...) sur la force écrasante du net, en terme d'écoute de musique.
Pour ceux qui veulent jeter un oeil, voici le site du meilleur logiciel de programmation musicale dans le monde, utilisé par les plus grandes radios Françaises. (Et bientôt sur RTV 95.7 à Dreux !)
Il s'agit du Selector.
Nous avons aussi échangé sur la modification du modèle économique de la radio, par la création d'événements propres - payants - en rapport avec la cible mais créés de toute pièce, parallèlement à l'antenne en elle-même. L'objectif étant la diversification des sources de revenus, afin de ne plus dépendre uniquement que du marché publicitaire. Ex: STARFLOOR avec FUN Radio, soirée discothèque géante à Bercy avec les + grands DJ du monde + artistes en vogue, ce qui engendre des revenus parallèles au média radio.
Nous avons dialogué sur les sujets suivants :
- "Pourquoi les radios passent toujours les mêmes disques ?"
- "Ce sont les animateurs qui programment leurs émissions ?"
- "De quoi vit une radio ?"
- "Comment fait une radio pour savoir combien de gens écoutent ?"
- "Pourquoi les animateurs 'musicaux' disent toujours la même chose ?"
Le dîner était plus axé sur les FM musicales que sur les radios parlées. C'était un postulat, mais la logique "de mise en onde" reste la même pour les généralistes commerciales.
Voilà pour ce jeudi ! Dans un futur proche, après les fêtes et après un mois de janvier chargé, Etienne nous parlera lui de succession, d'héritage, de legs...
Normal ! Il est Notaire ;-)
Même s'il est impossible de rentrer dans les détails de l'histoire officielle (et surtout non officielle...) de la radio, nous avons évoqué la naissance de la FM en France jusqu'à la façon dont les FM programment leurs antennes de nos jours, ainsi que les perspectives d'avenir de ce type de média.
Après un bref rappel historique, de la première radio FM à Lille en 1969 jusqu'à l'ultra formatage actuel des réseaux, on a regardé quelques documents montrant le trajet et l'objectif d'un titre, du test de ce dernier avant sa mise à l'antenne jusqu'aux résultats d'audience de la radio (les fameux sondages dont se servent les radios pour vendre la pub), en passant par le positionnement dudit titre à des heures déterminées sur le conducteur de l'animateur.
Nous avons abordé les différentes évolutions des radios depuis 1981 en terme d'expansion, en évoquant aussi la tendance actuelle sur l'importance des contenus et du programme local, pour se différencier des flux musicaux sans âme qui ressemblent plus à un iPod qu'à une radio. Les radios se penchent également (tardivement...) sur la force écrasante du net, en terme d'écoute de musique.
Pour ceux qui veulent jeter un oeil, voici le site du meilleur logiciel de programmation musicale dans le monde, utilisé par les plus grandes radios Françaises. (Et bientôt sur RTV 95.7 à Dreux !)
Il s'agit du Selector.
Nous avons aussi échangé sur la modification du modèle économique de la radio, par la création d'événements propres - payants - en rapport avec la cible mais créés de toute pièce, parallèlement à l'antenne en elle-même. L'objectif étant la diversification des sources de revenus, afin de ne plus dépendre uniquement que du marché publicitaire. Ex: STARFLOOR avec FUN Radio, soirée discothèque géante à Bercy avec les + grands DJ du monde + artistes en vogue, ce qui engendre des revenus parallèles au média radio.
Nous avons dialogué sur les sujets suivants :
- "Pourquoi les radios passent toujours les mêmes disques ?"
- "Ce sont les animateurs qui programment leurs émissions ?"
- "De quoi vit une radio ?"
- "Comment fait une radio pour savoir combien de gens écoutent ?"
- "Pourquoi les animateurs 'musicaux' disent toujours la même chose ?"
Le dîner était plus axé sur les FM musicales que sur les radios parlées. C'était un postulat, mais la logique "de mise en onde" reste la même pour les généralistes commerciales.
Voilà pour ce jeudi ! Dans un futur proche, après les fêtes et après un mois de janvier chargé, Etienne nous parlera lui de succession, d'héritage, de legs...
Normal ! Il est Notaire ;-)
